Été 1992. Bottes en caoutchouc. Des bottes de paille. Des piles de mousses humides et hachées. Un groupe de producteurs de tourbe, de chercheurs et d'étudiants en sable discutant, examinant des plantes à la loupe ou étalant délicatement de fines couches de mousse sur de petites parcelles de tourbe sombre et nue. Cette image étrange décrit les premières étapes de ce qui deviendra plus tard un pilier central des engagements de gestion responsable de l'industrie canadienne de la tourbe horticole : le développement d'une méthode de restauration des sites d'extraction de tourbe.
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